samedi 2 novembre 2013

Trouvé pour vous sur le net

Pack Up Cup

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Les innovations les plus discrètes sont parfois les meilleures, en voici la preuve avec la Pack up Cup de la marque suédoise Light My Fire
Le concept est très simple, il s’agit d’une tasse dont la partie haute est rigide, et la partie basse est souple. Cette partie souple peut se replier sur elle deux fois et réduire considérablement le volume occupé par le gobelet.
Alors, bien ou pas ? 
D’abord un peu septique sur plusieurs points tels que la résistance de la partie souple, le poids ou encore la stabilité du gobelet, je dois avouer que j’ai été rassuré en utilisant le gobelet en conditions réelles.
Tout d’abord, la partie souple est souple, mais pas trop. Le gobelet peut donc être posé debout quand il est vide ou plein.
Ensuite, le poids du gobelet est très raisonnable. A vrai dire on ne sent pas de différence flagrante à main nue. Quand on regarde sur la balance, le poids affiché est de 39gr contre 34 gr pour un gobelet plastique et 24 gr pour une éco tasse repliable.
Là ou la Packup Cup est la plus intéressante, c’est dans son système de pliage. La partie basse du gobelet se replie sur lui-même pour entrer dans la partie rigide. Cela diminue de moitié – voir un peu plus selon moi – le volume occupé par le gobelet. Tous ceux à la recherche de gain de volume, que l’on soit en rando, en alpi ou en trail savent que au delà du poids, le volume compte également énormément.
Alors, devez vous mettre ce gobelet dans votre sac pour votre prochain trail ? Oui, puisque ce gobelet vous permet de remplir autant de liquide qu’un grand gobelet en plastic classique, tout en ne prenant que la place d’une éco tasse…
Sa partie haute rigide la rend plus facile à utiliser qu’une éco tasse (plus souple) et aussi pratique qu’un gobelet plastic (type gobelet de festival).
Côté résistance, rien à redire, la partie souple est suffisamment épaisse pour ne pas se déchirer. Reste à voir sur le long terme, rendez-vous dans quelques mois pour vous en dire plus.
Si l’on devait apporter une modification à la Packup Cup, je pense que ce serait un petit crochet ou anneau afin de pouvoir la fixer au sac ou à une cordelette. Il est souvent pratique de sécuriser son matériel quand on est en montagne.
Le petit plus de ce gobelet se trouve dans son couvercle qui permet au choix de ne pas trop renverser le contenu si on bouge, ou de garder au chaud plus longtemps les thés et soupes.
Si vous souhaitez économiser encore plus de poids, vous pouvez simplement retirer ce couvercle à l’aide d’un cutter.

Ravito sauvages chez les templiers

Faut le prendre cool ce n'est que du sport.
http://www.desbossesetdesbulles.com/Ravitos-sauvages-chez-les.html

Comment courir plus vite, comment gagner en vitesse

Athlète, coureur confirmé ou débutant, le but de tous, au fil des entrainements est de courir plus longtemps et plus vite.
Comment se fait-il que si on prend deux coureurs débutants certains vont être rapides, d’autres non ; Quel espoir pour les tortues, les coureurs lents d’améliorer leur vitesse ; Pourquoi est-ce important de courir plus vite, pourquoi faut-il travailler sa vitesse ? ; N’y a t il que le fractionné pour travailler sa vitesse et quel type de fractionné ? ; Comment travailler sa vitesse ; A partir de quel moment un coureur peut-il considérer qu’il ne pourra pas courir plus vite, qu’il a atteint son « maximum vitesse » ? ; Quand les débutants doivent-ils travailler leur vitesse ? ; Certains coach suggèrent de ne faire que du foncier la première année ; Est ce vrai que travailler sa vitesse est source de blessure... sont autant de questions que nous avons posé à Eric, le coach de urun. Pour lire les réponses de notre expert, lisez la suite.
u-run.fr : Comment se fait-il que si on prend deux coureurs débutants certains vont
être rapides, d’autres non ?

Eric, coach : Ca fait parti du bagage génétique, de nos aptitudes. Certains apprennent plus vite que d’autres, certains sont dotés d’un meilleur mental que d’autres. C’est quelque chose où on ne peut rien. néanmoins, certains ont certaines aptitudes et ne les exploite pas.
Il faut aussi se connaitre et savoir vers quoi on va exceller. On passe parfois une vie entière à se chercher ..
u-run.fr : Quel espoir pour les tortues, les coureurs lents d’améliorer leur vitesse ?
Eric, coach : Si le but est d’améliorer sa vitesse , ça peut se faire très vite , 4 semaines et hop le tour est joué mais la question est en fait d’améliorer sa vitesse moyenne. Un entrainement structuré et bien ciblé feront merveille normalement. Dans ce cas on parle de travail de temps de soutien à VMA, aller vite sur une courte distance ou un court temps ne sert pas grande chose . Aller vite longtemps à VMA est très intéressant ….
u-run.fr : Pourquoi est-ce important de courir plus vite, pourquoi faut-il travailler sa vitesse ?
Eric, coach : La vitesse est déterminée par sa VMA (voir article sur la VMA), toutes les allures des compétitions se déterminent en fonction de la VMA.
Un 10 km peut se faire à 90% de sa VMA. Si cette VMA augmente, le temps au 10 baissera ..
u-run.fr : N’y a t il que le fractionné pour travailler sa vitesse et quel type de fractionné ?
Eric, coach : Non il n’y a pas que le fractionné. On peut par exemple courir très vite 6 min pendant l’entrainement. Après quelques séances de ce type on va vite progresser en vitesse si on ne se blesse pas avant… Par contre faire 12 fois 30/30 sera aussi bénéfique et moins sujet à blessure.
On travaille sa vitesse autour de sa VMA, on peut même travailler sur des 100 ou des 200m à 110% de VMA.
u-run.fr : A partir de quel moment un coureur peut il considérer qu’il ne pourra pas courir plus vite, qu’il a atteint son « maximum vitesse » ?
Eric, coach : Quand son test VMA plafonnera et qu’il aura été flirter avec le haut de la fourchette des % de VMA lors des compet. Par exemple un coureur dont la VMA ne bouge plus et qu’il tient 90% de cette VMA sur 10km risque de stagner.
Après je pense qu’il n’y a pas de limite, autre que celle qu’on a génétiquement parlant.
u-run.fr : Quand les débutants doivent ils travailler leur vitesse ? Certains coach suggèrent de ne faire que du foncier la première année…
Eric, coach : C’est un abus de langage. « Foncier » ne veut pas dire que sortie en endurance lente. Dans un foncier on travaille à toutes les intensités ou allures mais sans privilégier une plus que l’autre.
u-run.fr : Est ce vrai que travailler sa vitesse est source de blessure ?
Eric, coach : Oui bien sûr car on sur sollicite sa musculature. Alors quelques conseils s’imposent.
On s’echauffe correctement avant sa séance. Avant une séance de 30/30, on va par exemple faire 2 ou 3 accélérations courtes.
On arrive au début de sa séance avec un niveau correct d’hydratation, on s’étire après la séance et on boit après la séance.
u-run.fr : Courir vite et travailler sa vitesse c’est important pour préparer quel type de course ? Seulement les 10 km ou aussi les marathons par exemple ?
Eric, coach : Toutes les courses, même des 100 km en montagne se font en fonction de la VMA, alors augmenter cette vitesse de base vous fera baisser vos temps que ce soit du 10km, semi marathon ou autre.


source u-run.fr

Interview de Thomas St Girons - 2ème à l'Endurance Trail des templiers 2013


L'interview de notre Aveyronnais qui court vite. Arriver à gagner 1km/h c'est beau cela me laisse de l'espoir!!